Soirée compromise ? Pas forcément... [Matt]

20 :30. La jeune femme laissa glisser au sol la légère tenue qui l’avait suivie dans le moindre de ses déplacements depuis le matin même de cette éreintante journée. Quelques secondes plus tard et se fut au tour de ses sous-vêtements d’atterrir sur le froid carrelage de la salle de bain. Renversant la tête, les yeux mi-clos de satisfaction, Claire savoura la caresse de ce jet d’eau brûlante sur sa délicate peau de pêche. La quiétude fut de courte durée. Driiiing, driiing, driiing… La stridente sonnerie du téléphone la rappela à l’ordre, écourtant au passage ce bref moment de paix. Augmentant encore la pression du jet, elle grommela quelque chose qui devait ressembler à un « Qu’il aille tous se faire voir… », élégant en plus.
On insista encore un peu, jusqu’à ce que ce bip tout aussi agaçant retentisse à son tour. Au moins elle avait pensé à enclencher le répondeur. Aussitôt la voix pas vraiment mélodieuse non plus de June retentit dans l’intégralité de l’appartement, au grand désespoir de la jeune femme.

« Chérie ? C’est June. Oh, je sais, tu vas me détester mais je ne peux pas sortir avec toi ce soir. Je suis, vraiment vraiment désolée… C’est que…IL m’a appelée alors, tu comprends n’est-ce pas ? Bon il faut que je te laisse, à plus tard. Ciao. »

Claire appuya le front contre la vitre embuée de sa cabine de douche, elle n’avait absolument aucune idée de qui pouvait être ce « LUI » et ne comprenais absolument rien mis à part le fait qu’elle n’allait finalement pas passer la soirée en compagnie de June Dashwood. Partagée entre le hurlement de joie un rien paillard et le juron bien sentie de la fille qui réalisait qu’elle allait tout de même passer la soirée seule, Claire opta pour la réaction la plus sensée c’est à dire se taire et sortir. Ce qu’elle fit sur le champ, attrapant au passage un magnifique peignoir en soie bleu duquel elle se vêtit pour traverser le long couloir aboutissant à son dressing. Bien entendu, lorsque la jeune femme entra dans la pièce elle ne savait absolument pas encore où et surtout avec qui elle allait la terminer cette fameuse soirée. Un doigt interrogateur posé sur ses exquises lèvres, elle ouvrit deux placards et jeta un rapide coup d’œil sur la glace en face d’elle. Hésitant elle finit pourtant par jeter son dévolu sur la tenue la plus sommaire qu’il soit, un slim Chanel auquel vint s’ajouter un simplissime débardeur blanc accompagné d’un ample pull aux mailles très fines déniché chez Céline, une semaine plus tôt. Ajoutons sa toute nouvelle ceinture siglée Gucci et la jeune femme était quasi prête partir. Attrapant au vol une paire d’escarpins et une pochette dans laquelle elle fourra pêle-mêle son portable, un paquet de malboros, son portefeuille et un paquet de choses totalement inutiles et invraisemblable qui aurait fait hausser les sourcils à n’importe lequel de ses machistes peuplant la Grosse Pomme, incapables de comprendre toute la subtilité qu’il existait dans l’art féminin de se charger de chose totalement inutiles. 21.00. Claire Perry quittait enfin son appartement, ses yeux clairs soulignés par la fine couche de mascara -qu’elle avait fini par s’appliquer dans le miroir de son hall d’entrée- tandis que ses boucles, laissées libre caressaient les épaules largement dénudées de la jeune femme.
D’une démarche aérienne, elle se rendit à la station de taxi la plus proche et trouva immédiatement l’un de ses fameux taxi new-yorkais qui à cette heure commençaient déjà à envahir les rues. Indiquant d’une voix détachée l’adresse d’un petit bar branché quasiment à l’autre bout de la ville, la jeune femme se cala dans le fauteuil peu confortable – il fallait bien l’avouer – du véhicule et ignora la vague recommandation du chauffeur quant à cette ceinture qui se balançait à quelques centimètres d’elle. Accordant un regard confus aux rues qui défilaient à présent sous ses yeux , elle fut vaguement surprise lorsque la voiture se rangea sagement contre le trottoir à quelques mètres à peine de sa destination. Lâchant quelques billets dans la main tendue du chauffeur, elle jaillit hors du taxi d’un mouvement souple et se glissa à l’intérieur de l’établissement. Balayant sur la salle des yeux investigateurs, elle finit par s’installer au bar et commanda un gin tonic. N’accordant qu’un haussement de sourcil dédaigneux à la brève tentative du barman pour engager la conversation. Hochant juste brièvement la tête pour le remercier lorsqu’il posa le verre devant, elle, la jeune femme le porta à ses lèvres et en préleva une ou deux gorgées.

Ses yeux se portèrent sur sa pochette qu’elle avait posée sur le bar, une soudaine envie la prit tenante et insistante. La pression qu’elle exerçait sur son verre s’accentua, légèrement, tandis que son visage ne perdait rien de son impassibilité.
La jeune femme avait indistinctement conscience que cette envie pourrait, au fur et à mesure des années finir aussi insurmontable que celle que sa mère subissait constamment. Claire haussa les épaules, mentalement, dut moins, - elle se l’était promis jamais comme eux, jamais- elle reposa des yeux paisible sur son verre et le vida, entièrement cette fois.

Invité

Ce soir, un soir complètement nul, un soir mortellement ennuiyeux, un de ses soirs que Matthew detestait, un soir qu'il n'avait pas l'occasion de passer constamment et heureusement, un soir enfin ce soir était le soir le plus ennuiyeux que Matthew est connu, enfin il y en avait eut en tout 2 et comme on dit jamais deux sans trois, enfin vous connaissez les soirs où tout d'abord aucuns de vos amis n'est disponibles encore faut-il avoir des amis hommes ce qui n'était pas vraiment le cas de Matthew en effet il n'avait aucuns amis, on pouvait compter sa soeur Jillian malgré leurs rapports assez tumultueux ils s'entendaient plutôt bien et Shaley Harbet avec qui il couchait pour avoir simplement de la drogue gratuite mais après ça, il n'avait aucuns amis en fait s'était le garçons qui étaient toujours bien entourés mais jamais avec les gens qu'il appréciait, au fond on pourrait le plaindre vous imaginez jamais de soirées entre potes, jamais de week-end entre amis, jamais il ne parlait de ses conquêtes et de ses exploits au lit avec ses amis il y a de quoi le plaindre non? Mais lui il s'en contre fichait, il était riche, beau et jeune, il était toujours entouré de jeune femme toujours plus belles les unes que les autres et avec les gens les plus riches de tout New York, alors les amis il pouvait vraiment s'en passer.

Mais voila cette soirée était pourrit, il était à son appartement seul, zappant sur les 380 chaînes qu'il avait sur son écran plasma avec également la musique de sa chaîne mise à fond un petit Hilary Duff et Haley Duff la chanson était Lips are Sealed, n'allez pas croire qu'il n'écoutait que ça, mais visiblement la bonne aimait bien fair ele ménage avec cette chanson et vu qu'il avait la flemme de changer de chanson il la laissait après tout elle était plutôt entrainante et puis personne n'était là pour savoir ce qu'il écoutait du moins jusqu'à ce que son portable ne sonne, il grogna légèrement à l'entente de sa sonnerie, un grand classique et l'une de ses chansons préféré, Bitter Sweet Symphony de The Verve, enfin malgré l'entente de la chanson qui le fit sourire, il n'avait qu'une envie ne pas répondre au téléphone mais bon après la deuxième sonnerie il éteignit la musique tout de même ainsi que la télévision et enfin il décrocha, c'était l'un des clients de son père avec qui il s'était plutôt bien entendu.

Mr Adams?... Je me demandais si un verre vous tentais?... Venez alors ce soir au bar à la fin de la ville... BIP!

Bon soit, le client était un homosexuel à coup sûr puisqu'il était 21h00 et généralement on ne prévoit pas une sortit à cette heure-ci puisqu'on est déjà sortit soit il n'avait lui aussi aucun amis avec qui passer la soirée, enfin bon en tout cas il n'allait pas broncher, il avait accepter bien évidemment c'ets pourquoi il se leva de son fauteuil en cuir rouge avant de se diriger vers la porte de son appartement et enfin de le quitter sans prendre la peine de le fermer à clef après tout ici personne ne fermait son appartement à clef, le vigile était payé pour les protéger donc...

Il alla à sa voiture et entra à l'intérieur avant de mettre le contact et de quitter sa place de parking, roulant jusqu'à la fin de la ville pour aller dans ce bar minable, quelle idée de se donner rendez-vous à l'autre bout de la ville pour un verre il soupira et arriva enfin après 20minutes de trajet, il trouva facilement une place et sortit de sa voiture avant de se faire voir par tout le monde, et exclusivement des filles, il entra dans la bar, il était atroce remarque pour lui tout est atroce tant que ça ne ressemble pas à la France rien n'est beau, marchant jusqu'au bar il ne voyait pas son coup du soir et soudain son portable sonna à nouveau s'était encore lui le client qui cette fosi appelait pour annuler après mainte et mainte excuses, Matthew lui raccrocha au nez avant de lâcher un simple "Quel crétin!". Il commanda une bière au serveur avant de la recevoir il fit un signe de tête à celui-ci quand il la lui apporta et enfin il se mit à la boire, il n'aurait jamais dut sortir de chez lui ce soir.

Franchement, c’était une mauvaise idée ce bar et d’ailleurs Claire n’était plus vraiment à une erreur près. Rien que l’emplacement que la jeune femme avait choisit attestait de la fin de soirée désastreuse qui allait s’annoncer. A chacune des allées et venues des clients, la jeune femme devait subir cet agaçant courant d’air suivit d’un désagréable claquement de porte. Nouveau clac bien plus violent que les autres, sans exprimer le besoin de se retourner la jeune femme sut que l’auteur de cette brusque entrée ne pouvait qu’être un homme. Levant les yeux au ciel, plutôt plafond sur le coup – juste au passage- et dire que cette espèce malheureusement en très grand développement du crétin à la prétention surdéveloppée adorant attirer l’attention sur lui, devenait de plus en plus courante même de l’autre bout de cette fichue ville…

Sa soirée était franchement compromise. Elle posa les yeux sur le visage… pas franchement réjouissant du barman (est-ce que cela existe seulement les barmen mignons ?). Non elle n’était pas encore tombé assez bas apparemment. Songeuse, la jeune femme esquissa de nouveau un geste vers sa pochette qu’elle ne retint pas, cette fois. Extirpant son paquet de cigarette de son sac, elle en sortie une et l’alluma d’un geste qui témoignait de son habitude. Posant un regard songeur sur le cinquième paquet de la semaine, Claire se demanda si vraiment tout ça était nécessaire, ce n’était pas de nicotine dont elle avait envie et le savait parfaitement. Bien entendu les Daniels avait disparut de la circulation depuis plus de quinze jours, échappant un léger filet de fumée la jeune femme fronça les sourcils, il lui semblait avoir entendu parlé d’un vague voyage au sud de la France… Peut importait, au final, il étaient absents et Claire aurait bien eût besoin d’un peu d’herbe ; dut moins pour aider à supporter la soirée épouvantable qu’elle était entrain de passer. Une légère toux la tira de sa rêverie, fixant sur le jeune homme derrière le comptoir un regard inexpressif elle l’écouta lui parler de lieu public et du dérangement qu’elle causait certainement à ses voisins. Claire tira une nouvelle bouffée de sa malboro puis, au lieu de l’écraser dans le cendrier qu’il avait timidement posé en face d’elle, la jeune femme se tourna vers son voisin.

« - Je vous dérange ?
- Pardon ?
- Je vous demande si je vous dérange…
- Absolument pas.
- Merci »

La jeune femme tapota la « pomme de discorde » au dessus du cendrier d’un air railleur, puis demanda un autre verre. Pivotant sur elle même, la jeune femme appuya son dos contre le comptoir et accrochant du regard un visage qui lui sembla familier, elle reporta son attention sur ce jeune homme en pleine conversation téléphonique. A la façon dont il raccrocha, Claire devina qu’elle n’était pas la seule à qui l’on avait posé un lapin. Il fallait croire que les coups de téléphone de dernière minute étaient de bien mauvaise chose, apparemment. Au même instant, relevant la tête, il soutînt le regard de la jeune femme. Mattew Adams. Pas besoin d’aller chercher plus loin le « crétin » de tout à l’heure était sous ses yeux légèrement ébahis. Ecrasant enfin sa fameuse malboro dans le cendrier près de son coude, elle se saisit de son verre à nouveau plein et, un petit sourire narquois en coin, l’éleva légèrement comme pour saluer le jeune homme.

Invité

Visiblement la soirée s'annonçait encore plus mauvaise qu'elle n'avait commencé, déjà aucunes jolies filles dans les parrages et les bières n'avaient même pas assez de bulles, n'y a-t-il pas un endroit ici où on peut boire quelque chose de potable? Non visiblement rien n'est bon ici. Enfin, entre son "client" qui venait d'annuler et le monde qui'l y avait dans ce ridicule bar Matthew n'avait qu'une envie c'était de finir sa soirée chez lui à sniffer autant de coque que pouvait supporter son corps, quitte à faire une crise par la suite tant pis peut être que là ses vrais amis seront là, ce qui l'étonnait assez. Enfin bon, le barman le regardait d'un air mérpisant sûrement devait-il se dire "salle alcoolique de gosse de riche!", il faut dire que question vêtements Matthew n'y était pas allé de main morte en effet avec ses vêtements venant de chez Louis Vitton, Christian Dior, Dolce & Gabbana, et autres marques de luxe tel que Fendi, Channel et pleins d'autres, il aimait montrer à quel point il était aisé et qu'il pouvait s'offrir tout ce qu'il voulait c'est pourquoi il regarda le barman d'une façon aussi mérpisante que la sienne avant que le jeune barman ne tourne les yeux il avait enfin compris que Matthew était au dessus de lui.

Buvant une nouvelle gorgée de bière, il se tourna de son tabouret avant de remarquer une jeune femme toute à fait à son goût qui marchait en sa direction, rapidemment elle arriva sous la lumière et là Matthew la vit, c'était ELLE, elle, la jeune femme si longtemsp désiré, la jeune femme si longtemps draguée et courtisée par le jeune homme, qui bien évidemment n'avait pas cédé à ses approches et qui rapidement s'était vu lui dire à quel point il était minable à vouloir s'approcher autant d'elle. C'est pourquoi rapidemment il avait arrêté de la courtiser et de la draguer, comme-ci il s'était rendu compte qu'entre eux rien n'était possible ça devait bien faire deux semaines qu'ils ne s'étaient pas vu en même temps il avait tout fait pour ne plus la voir à présent il ne voulait qu'une chose être loin d'elle, il ne la voulait plus, il s'en contre fichait maintenant il était loin d'elle et de ses phrases minables, e mais bon là à cet instant elle était là devant lui toujours si jolie et si elle, il roula légèrement des yeux injuriant dans sa tête cette soirée minable, à croire que des soirs il vaut mieux rester à la maison à maudir le fait qu'on a aucun amis et à rester devant la télévison à zapper sur les 380chaînes que vous offre le cable.

Enfin, elle s'approcha encore de lui avec son petit sourire narquois visiblement elle venait à lui pour une fosi prête à lui parler pour lui dire quoi? Qu'il était complètement idiot de continuer à la suivre sauf que là ce n'était pa slui qui l'avait suivit s'était un rendez vous manqué enfin, il lui sourit également de la même façon qu'elle en la voyant s'approcher de lui.

Tiens tiens, maintenant tu viens vers moi?

Un verre à la main et sa pochette hors de prix de l’autre, la jeune femme offrait un tableau très proche du cliché. Une gosse de riche accro à l’alcool et aux accessoires de mode. Elle était bien plus que ça et le savait pertinemment. Trop peut-être ? Allez savoir…
Donc Claire s’approcha de la table du jeune homme avec ce petit sourire tellement… tellement Claire, finalement. Cela faisait un bail qu’ils ne c’était pas croisés. Non. Rectifications, cela faisait un bail qu’il l’évitait à tout prix. Serais-ce possible qu’il ait abandonné l’idée de la séduire un jour ? Lui ? Matt Adams ?
Cette suggestion, lui tira un léger sourire amusé.

Observant le profil du jeune homme elle en vint à se demander si il n’aurait pas un peu de cette poudre magique, ou mieux encore un peu de cannabis, serait une récompense bien méritée pour ce premier pas, fruit d’un dur combat avec son ego qui lui soufflait de rester là, tapie dans son coin miteux ouvert aux quatre vents. C’est vrai, après tout cela aurait été une juste récompense pour ce geste quasiment amical, non ? Durant les quelques secondes que durèrent sa traversée du bar, la jeune femme eut le temps de considérer le regard qu’il lui portait et d’en déduire qu’envie de l’éviter ou pas elle ne lui était pas tout à fait indifférente, pour changer tiens. En temps normal, la jeune femme l’aurait méchamment apostropher pour lui faire savoir que la suivre dans les bars était absolument pitoyable mais Claire savait pertinemment que pour une fois ce n’était pas le cas. Et il fallait bien l’avouer, elle espérait vraiment qu’il allait lui offrir un peu de poudre.
Arrivée à destination, elle se rapprocha encore de Matt et amorça le geste de poser son fameux sac en face de lui lorsqu’il parla enfin. S’ arrêtant immédiatement dans son élan, elle resta interdite quelques instant puis répondit enfin :

« Il y a un début à tout, non ? »

Marquant un silence qu’il ne daigna pas écourter, la jeune femme finit par prendre un air faussement désolé.

« Ma présence te gène, tu attendais quelqu’un peut-être ? Excuse moi de t’avoir dérangé Matt, je crois que finalement le petit barman n’est pas si mal que ça, je ferais peut-être mieux d’aller le voir de plus près… »

Lui offrant un petit sourire navré, elle fit demi-tour, plantant là son verre et retourna s’accouder au bar. Claire n’avait aucun plan précis ni aucune envie d’attirer l’attention sur elle. La vérité, seul lui pouvait l’avoir deviné, il l’avait piquée au vif par son accueil froid et indifférent. Elle fulminait, non pas parce qu’il l’avait gentiment envoyée balader, ça à la limite elle l’acceptait dans la mesure où la réponse qui lui brûlait les lèvres à cet instant aurait été beaucoup plus cinglante que la remarque semi-ironique du jeune homme. Mais parce qu’elle ne pouvait rien dire ou faire qui pouvait risquer de lui faire perdre l’once d’espoir qu’elle avait de pouvoir avoir sa ration de rêves éthérés pour la soirée. Montant sur le pointe des pieds, elle murmura quelque chose à l’oreille du barman, qui, apparemment était absolument à son goût . Extirpant une nouvelle cigarette de son paquet, la jeune femme la porta à ses lèvres et glissa une main dans le poche de son jean pour trouver son briquet. Palpant d’une main légèrement nerveuse dans le vide, elle fronça les sourcils et saisit sa pochette pour rechercher l’indispensable objet. Claire lâcha la pochette et se retint de se frapper le front contre le comptoir en face d’elle. Il n’y avait pas cinq minutes elle tenait sa pochette dans sa main gauche tandis que son verre et le briquet avaient fait le voyage dans la droite. Elle ne se retourna même pas, devinant le regard oh combien amusé de Mattew posé sur elle.

Invité

Après cette acceuil des plus chaleureux venant de la part de Matthew la jeune femme répondit au part de tour, ce qui n'étonna pas vraiment le blondinet elle avait toujours été comme ça mais en temps normal s'était elle qui le remettait en place. Enfin, un silence se fit soudainement un silence qu'il n'était pas prêt de briser à vrai dire il n'avait jamais eut de vrai conversation avec elle donc le silence n'était pas vraiment pesant pour lui sauf que pour elle il semblait lourd s'est pourquoi elle se mit à parler d'un barman dans ce café peut être, Matthew hocha la tête comme-ci il s'interessait à la conversation alors que ce n'était pas vraiment le cas, puis elle partit enfin, enfin? Comme-ci sa présence le gênait après tout c'est lui qui faisait tout pour ne pas lui parler et pour ne pas la voir mais bon, il faut dire que depuis un moment il avait mit sa quête sur elle entre paranthèse, il n'avait pas vraiment envie de la voir le ridiculiser comme à chaque fois à présent il était grand et mature pour savoir qu'elle n'était pas la femme qui lui fallait un point c'est tout. Il tourna légèrement la tête avant de voir un objet très utile pour allumer les cigarette avec les monogramme de la famille de Claire, le jeune homme eut un sourire très amusé.

Après avoir saisit le briquet dans sa main il regarda la jeune femme qui semblait chercher un objet serait-ce le briquet? Peut être, en tout cas pour le moment il ferai tle bonheur de Matthew, il glissa sa main sdans son jean avant d'extirper son paquet de cigarette dans lequel ce trouvait plus que des cigarettes en effet à chaque fois à l'intérieur on pouvait voir trois ou quatre cigarettes avec un sachet de sa poudre tant adorée, et quelques joins déjà entamé qu'il ne fumait jamais et qui n'était pas les sien, enfin il extirpa une cigarette du paquet avant de regarder son sachet de poudre il pourrait servir encore pour ce soir, il porta lentement la cigarette à sa bouche avant de l'allumer avec le briquet de Claire au monogramme de sa famille. Il sourait voyant la jeune femme complètement perdue qui ne trouvait pas son foutue briquet mais vous croyez qu'il va se bouger pour le lui apporter? Non ce serait trop pour lui, il resta sur son tabouret avec sa bière sur le comptoir qu'il prit dans la main droite tout en gardant le briquet dans la main gauche, il enleva la cigarette de sa bouche en la tenant avec le pouce et l'index de sa main gauche, pouffa une fumée grisâtre avant de boire une gorgée de sa bière, qu'il posa par la suite sur le comptoir avant de refaire le même geste remettre la cigarette dans sa bouche.

Le regard toujours fixé sur la jeune femme, visiblement elle se faisait drôle allait-elle enfin réaliser que son briquet était dans la main de Matthew? Ou allait-elle simplement faire comme-ci de rien n'était et poursuivre son... "tête à tête" ave cun barman pas vraiment craquant?

Résumons la situation, elle avait envie d’alcool, son verre était sur la table de Matthew. Un peu de poudre ne serait pas de refus ? Il en avait. Ce n’était tout d même pas pour rien qu’il avait la réputation de plus grand toxico de New York quand même….
Elle ne pouvait pas allumer sa malboro ? Lui si. Il avait son briquet et voir que ni l’un ni l’autre n’était près à faire le pas pour que le précieux objet retrouve sa propriétaire l’amusait et Claire le savait.
Mais le pire était ailleurs, pour la première -et dernière elle se le jurait- fois Matthew Adams avait le dessus, peut-être ne le savait-il pas encore, d’ailleurs après tout Claire avait toujours considéré le jeune homme comme quelqu’un d’absolument superficiel et dépourvu de toute cette cruelle perspicacité dot elle avait fait sa spécialité. N’aller pas croire que la jeune femme regrettait l’attitude qu’elle avait eut avec Matt, pour regretter il faut se remettre en question et Claire était de ceux qui préfèrent s’enfoncer plutôt que d’avouer qu’elle a eut tord. Mais au delà de toute les vexations qu’elle lui avait fait subir elle avait toujours trouvé l’attirance du jeune homme absolument parfaite pour flatter son ego. Et justement, son ego était au plus bas. La jeune femme aurait put quitté le bar en claquant la porte, lui laissant le soin de lui faire parvenir son briquet. Seulement la station de taxi la plus proche était loin, très loin lorsque l’on s’appelle Claire Perry. Il avait une voiture garée juste devant, la jeune femme en avait la certitude et cela aussi était une preuve que cette soirée était sa première défaite, pour l’instant.
Poudre, tabac, son appartement. En quelques minutes, toutes les perspectives consolatrices de la jeune femme étaient partie en fumée en même temps que sa patience. Elle voulait tout. Comme à son habitude, et Claire n’était pas de ses personnes à qui l’on refuse quoi que se soit. Mis à part ce soir, manque de chance. On reposa un verre face à elle, c’était déjà sa. S’agrippant à son verre comme à une bouée de sauvetage, la jeune femme lâcha rageusement la cigarette et s’appliqua à vider le gin pas vraiment tonic d’un trait. Mauvaise pioche, elle avait le ventre vide.

En grande habituée des très arrosées soirées new-yorkaise, Claire laissa le vertige que l’étrange coktail alcool-nicotine-faim provoquait parfois se résorber lentement. Naturellement, elle n’avait rien laissé paraître et semblait tout aussi fraîche que quelques minutes plus tôt ce qui, bien entendu s’était absolument faux. Ses yeux se posèrent sur son paquet quasi vide. Elle se retourna, cherchant le jeune homme du regard. Il s’amusait vraiment, inconsciemment la jeune femme se mit à détester ce sourire qui pourtant avait tant de fois orné ses lèvres à elle. Et le barman n’était pas encore revenu.

Pointant un doigt en sa direction, elle articula silencieusement à son intention un « Je-te-hais » dont il devait se délecter avec un plaisir évident.

Elle n’allait certainement pas se lever pour le rejoindre et il ne le ferait pas non plus pourtant le cas de Matt l’intéressait en fin de compte. Le dicton avait-il quelque chose de vrai, finalement ? Suis moi je te fuis, fuis moi je te suis. Bon, nous parlons de Claire Perry pas de Julien Sorel ou de Scarlett O’Hara et il n’y avait que les imbéciles qui ne changeaient pas d’avis. Disons qu’ils étaient deux imbéciles imbibés d’alcool à se fixer dans le blanc de l’œil depuis pas mal de temps déjà, elle en attendant un parfait inconnu pour on ne savait quel plan, foireux de toute façon, et lui attendant que Claire se donne en spectacle, chose qui tout comme le reste méritait peut-être qu’on y consacre plus qu’une soirée.

Invité

Fixant toujours la jeune femem avec son petit air de supériorité car oh oui pour une fois il voyait sa supériorité envers elle, pour une fois ce n'était pas le jeune homme qui se faisait toujours rejetté par elle, ce n'était pas celui qui comme à chaque fois partait en insultant la Terre entière de son imbécilitée à faire les choses et à insulter ce Dieu que tout chrétien vénère et que lui pourtant s'amuse à insulter dés que quelque chose ne va pas, non ce n'était pas lui ce soir, ça pouvait être le cas pour la jeune femme mais lui non, la cigarette allumée dans la bouche il remarqua une jeune femme prés de lui, il fronça son nez avec un petit sourire avant de lui lançer un petit "Bonsoir je vous paye un verre?", évidemment elle n'avait pas refusé voyant la classe du jeune homme et surtout l'argent qu'il devait avoir, mais croyait-elle qu'il était le stupide de service? Car là elle se plantait sallement mais bon lui proposant d'allumer sa cigarette, son pouce se plaça sur la roulette du petit briquet de Claire avant de faire jaillir une flamme et de venir allumer la cigarette de cette jeune femme parfaitement inconnu et plutôt mignonne pour une femme de classe moyenne mais à part un verre et un "allumage" de cigarette elle n'aurait rien d'autre, gentiment il lui glissa un petit mot dans l'oreille et la jeune femme tourna instinctivement la tête vers, Claire Perry en ayant un arquement de sourcil suivit d'un sourire enfin elel prit son verre et partit du bar, Matthew quan dà lui fit un geste de la main en direction de Mademoiselle la classe Moyenne signifiant allez dégage!

Enfin, après avoir grimaçer sur la lourdeur de la jeune inconnu il vit Claire lui lancer un petit regard suivit de parole assez claire, il hocha la tête en souriant avant de mettre sa main à son oreille faisant signe de ne rien avoir entendu, il roula légèrement des yeux avant de se retourner vers le bar demandant un wisky, le barman le fit immédiatement avant de lui servir, Matt sortit son paquet de la poche de son pantalon avant de voir son sachet de poudre, il faut dire pour le toxico le plus ocnnu de New York avoir au moins un sachet s'était un petit truc et puis il en avait d'autre dans sa voiture et encore d'autre chez lui donc il pouvait tenir une petite heure encore. Enfin il plongea à nouveau son paquet dans sa poche avant de regarder le barman tous ausis moche les uns que les autres, non pas parce qu'il se trouvait beau... en fait si il se trouvait beau mais bon ça s'était pas une nouvelle tout le monde était au courant, il soupira finissant sa cigarette.

Et merd*!

Il écrasa son mégot dans le cendrillé avant de se tourner une nouvelle fosi vers la salle regardant par la même occasion cette Miss Perry qui semblait être en plein desespoir, à croire qu'elle ne voulait pas venir le voir et bien tant pis elle ne vient pas bah pas de retour de briquet par la poste peut être le balancerait-il quand il serait au volant de sa voiture sur l'autoroute comme si il jettait une cigarette et même si elle venait elle ne risuerait pas de retrouver son briquet enfin ça reste à voir, il prit la dernière cigarette qu'il avait dans son paquet, la prochaine fois il attaquerait son sachet de coque avant de l'allumer encore une fois avec le briquet de la jeune femme, puis il lâcha une fumée grisatre. A sa gauche un vieu papi le regardait visiblement il semblait répugné que le jeune homme bousille sa santé de la sorte, Matt tourna les yeux avant de sourire il prit sa cigarette entre son index et son majeur et le regarda le pointe avant la cigarette.

Vous voulez une photo?

Dit-il dans un ton assez sec, le pauvre petit papi roual des yeux avant de replonger dans son verre, en parlant de verre Matthew prit son verre et le leva légèrement en l'air en direction de la jeune femme comme pour lui TCHIN et il but un egorgée de son wisky.

Ah, enfin le petit regard supérieur, il était long à la détente se soir. Claire eut un sourire en coin, il était TOUJOURS long à la détente. C’était cette longueur d’avance qui rendait les avances du jeune homme insupportable, trop prévisible, sans aucune originalité. Voilà tout le problème du jeune homme et la vraie raison de l’indifférence de Claire à son égard, jamais il ne ferait quelque chose susceptible d’être invraisemblable ou imprévisible, au lieu de tenter d’atteindre l’extrémité même que pouvait atteindre la situation, il se contentera de rester à sa table en tenant son briquet, la narguant un peu sans vraiment entrer totalement dans le jeu. A vrai dire, Claire n’avait jamais pris le soin de le calculer sur quoi que ce soit. Matt… c’était Matt, jusqu’à ce soir. Elle suivit le regard du jeune homme, cherchant son verre à tâtons, n’accordant qu’un vague haussement de sourcil railleur à son petit manège. Que cherchait-il au juste ? A la pensée qu’il tentait peut-être de provoquer une quelconque réaction de sa part en abordant les autres femmes présentes dans le bar il se trompait gravement. Pourtant…
Sous le regard de la jeune femme, il se pencha pour allumer la cigarette de l’inconnue. Ce n’était pas vraiment la présence d’une autre qui la dérangeait mais plutôt le fait qu’il se soit contenté d’allumer la fameuse clope avec SON briquet. Le salaud.
Avec une certaine indifférence, elle soutint le regard curieux de l’autre jeune femme, tandis qu’elle quittait le bar sous les gestes agacés de Matthew.
L’apothéose arrivait, il sourit à sa déclaration et fit signe qu’il n’avait pas entendu. A cet instant elle lui souhaita autant que lui permettait sa soudaine griserie de profiter de l’instant présent, jamais cela n’aurait dut se passer ainsi si la soirée de la jeune femme n’avait pas été aussi catastrophique et quoi que soit le but qu’il s’était fixé, si but il y avait, il ne l’atteindrait pas. Oh non.
Claire se pencha dangereusement au dessus du bar auquel elle était accoudée pour rappeler le barman. Non il n’avait pas de feu, oui il voulait bien lui servir un énième verre, oui il avait bientôt fini son service, IL n’allait pas tarder. Avec un léger soupir, elle se reposa sur son tabouret et son verre à la main octroya un vague regard geste de Matthew, après un bref instant elle finit tout de même par lui accorda un petit signe de tête blasé.
Replaçant une longue mèche châtain derrière son oreille en un petit geste distrait, elle lança un vague regard à sa montre jusqu’à ce que son entière attention soit portée sur un nouvel arrivant. Sans prendre la peine de quitter son perchoir, la jeune miss Perry tendit une joue indolente où long plaqua un bref baiser, avant de faire le tour du bar et d’arracher le torchon à l’ancien barman.

Echangeant quelques paroles creuses avec Sean, Claire en oublia totalement son obstination quant
à ce fameux sachet de poudre qu’elle ne devinait au fond du paquet que Matt tenait en main à
l’instant. Un jeu de mot lui arracha son premier rire de la soirée, certainement autant dut au verre qu’elle tenait à la main qu’à l’esprit cultivé du jeune barman. Se hissant du plat des main à la hauteur de son ami, elle lui glissa quelque chose à quelques centimètres seulement de son oreille avec un charmant sourire. Répondant par la négative, il lui indiqua quelque chose dehors avant de se rétracter. Haussant les épaules devant l’adorable moue que formaient les lèvres de la jeune héritière, Sean finit par lui tendre quelque chose qui ressemblait à des clefs de voiture. Serrant son butin dans son poing elle se saisit de son portable et s’activa sur son clavier au dépit du regard masculin admirativement posé sur la partie anatomique de la jeune femme dépassant derrière l’immense comptoir. Enfin satisfaite, elle lança le gadget dans sa pochette et déposa un baiser distrait sur la joue de Sean. En chemin vers la sortie, elle lança un clin d’œil à Matthew au moment où il se penchait pour consulter un message sur son portable. Le contenu, Claire le connaissait, très bien même.

« Profites bien de mon briquet, je compte bien le récupérer… lorsque tu auras finit de me fuir. La prochaine fête te suffit comme délai ? A moi, oui et finalement c’est tout se qui compte. A très bientôt alors disons… »

Elle poussa la lourde porte vitrée sans un regard derrière elle, ni pour l’un ni pour l’autre. La prochaine fête était proche, Claire savait pertinemment qu’il faisait parti de ceux invité à la fameuse soirée organisée par la si mystérieuse Big Apple’s Queen. Le retour e son précieux objet était proche…

Invité

Elle partait déjà? Dommage il s'amusait plutôt bien, remarque au fond avec elle il s'était toujours amusé même si la jeune femme l'envoyait à chaque fois dans les roses il aimait bien son caractère parce qu'au fond ils se ressemblait, bon ok... il disait ne rien ressentir pour elle, rien du tout mais on ne commande pas son coeur comme on dit le coeur a des raisons que la raisons ignore, et il faut que Claire lui faisait pas mal d'effet pourquoi? Elle lui parlait normalement, comme à un homme et pas comme un drogué bon si elle le faisait aussi mais je ne peux pas expliquer ce quie se passe dans le coeur de Matthw, tout simplement car ça ne s'explique pas il était bien avec elle comme appaisé ce qui le dérangeait assez c'est pourquoi il préférait écouter sa tête son lui et non son coeur qui semblait dérailler en ce moment à la vue de la jeune femme qui depuis un moment était dans bar avec lui à quelques mètres de différences peut-être était-ce simplement les lumières qui faisait rendre la beautée à la jeune femme et qui la rendait si jolie oui bien évidemment c'est ça et rien d'autre que croyez vous qu'il était amoureux d'elle? Non pas vraiment c'est assez impossible même si le contraire ne nous étonnera pas. Mais bon il se cache la face comme toujours après tout il vit dans son monde où tout lui réussit et ça ne le dérange pas même si il voudrait qu'une jeune femme en fasse partit, c'est vrai à 26ans il n'attend plus rien, il a toutes les femmes qu'il veut mais à 26ans au fond on ne cherche plus de coup d'un soir à 26ans on rêve de projets, d'enfants et de la routine, la routine qui fait si peur à Matthew qui fait qu'il ne veut en aucuns cas s'attacher aux autres.

Soudain son portable se mit à vibrer voyant la jeune femme sortir du bar, il regarda le message et eut un léger rire en le lisant il semblai tlui faire plaisir même si ce n'était pas des messages d'amour, au moins elle faisait attention à lui... non il secoua la tête légèrement regardant autour du bar elle avait disparut, sortit? Sûrement... peut-être était-ce mieux ainsi au moins il ne pensai tplsu à elle, il se tourna une nouvelle fois vers le bar demandant un dernier wisky, pusi il vit le barman qui avait servit Claire il lui fit signe de la main pour qu'il vienne vers lui, Matthew lui sourit avant de boire une gorgée de son verre de nouveau plein.

Tu ne sais pas où elle est partie la femme avec qui tu parlais?
Si elle m'a prit mes clefs de voiture?
Merci maintenant salut!

Il sourit, avant de finir son verre, il déposa un billet de 20$ sans demander la monnaie et sortit du bar avant de se diriger à sa voiture, il y entra et mit le contact une chanson passait à la radio, "The good kind" des Wreckers, cette chanon était assez bien, il l'aimait bien malgré son côté princesse, il aimait bien ce genre de chanson et oui il n'écoute pas de classique, il sortit son paquet de son jean, le briquet y était également il sourit ue nouvelle fois avant de prendre la sachet faufilé à l'inérieur de ce paquet de cigarette, prennant un des CD qu'il avait sur le siège passager il déposa la poudre blanche et la sépara en deux à l'aide d'un deuxième CD, il sortit un genre de paille avant de la poser à sa narine gauche il approcha le CD où était la poudre avant de la sniffer et HOP le tour est joué, il fit de même avec la deuxième rangée qu'il s'était fait, pusi lança le CD à ses côtés.